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Stardust, le mystère de l'étoile
Ce week-end, c'était la fête du cinéma dans ma ville, les billets étaient un tiers moins cher, l'occasion donc d'aller voir tous les films pour lesquels j'avais hésité (ou pas). Quatre films en deux jours, enfin quatre séances et cinq films, tous bien différents.

Stardust est le premier que j'ai vu, et je l'ai décidé sur un coup de tête: juste après avoir vu la bande-annonce à la télévision, autant dire que je ne savais absolument pas à quoi m'attendre (bon, je savais qu'il y avait une étoile et des sorcières...). Eh bien des trois films que j'ai vu vendredi (les deux autres samedi), c'était sans aucun doute le meilleur.
Un conte de fées, c'est un véritable conte de fées obéissant aux règles du genre, avec un héros qui de minable devient roi, une étoile filante à forme humaine, des méchantes sorcières et une morale distillée au goutte-à-goutte.

En vérité, le début m'a déçu, ou plutôt il m'a paru étrange : le héros réussissait trop facilement à franchir le mur interdit et à revenir chez lui, si l'histoire s'était arrêtée là, j'en aurais eu de la peine.

Heureusement, ce n'était pas le héros mais son père, je venais d'assister au prologue dont trop d'histoires se passent aujourd'hui. Le reste du film était plutôt bien enchaîné, logique et très dynamique sans pour autant tomber dans les gros pièges et la facilité si souvent de mise.
Bien entendu, l'histoire contient de nombreuses images symboliques (typiques du conte de fées, mais si je lis le livre je vous ferai une analyse complète sur les images, promis) et beaucoup de passages comiques, mais heureusement elle tombe rarement dans l'excès de l'un ou l'autre côté.

Quelques surprises agréables parsèment le scénario grâce à la mutlitude de destins entrecroisés, car même si la trame principale est très simple, le déroulement en est assez inhabituel et donc appréciable.

Au niveau de l'image j'ai beaucoup aimé le fait qu'on change souvent de décor, de point de vue - pour éviter de lasser le spectateur (mais pas non plus trop souvent ce qui permet de suivre l'histoire)- et de types de plans, ras-le bol en effet des grosses production américaines où on ne voit que le buste des personnages du début à la fin du film, excepté lors des scènes de foule où on cherche "l'effet de masse". Lorsqu'on nous montre les héros de loin (histoire de rentabiliser le budget "paysages"), on évite aussi de nous faire technique "oiseau de proie tournoyant".

Bonne surprise à nouveau pour la musique qui accompagne le film sans l'écraser, comme c'est de plus en plus souvent le cas. La musique sert le film, et non l contraire, ce qu'oublient de plus en plus les compositeurs en voulant imiter John Williams (mais ils ne sont pas au point).

Bref un bilan absolument positif, contrairement aux critiques de presse qui ont sans doute plus planché sur le 1er degré du film dans aller plus en profondeur. Sans dépasser 2 heures, Matthew Vaughn nous offre un excellent conte de fées, interpreté par une magnifique brochettes d'acteurs talentueux, peu conforme aux brouets assaisonnés de coups de feu hollywoodiens actuels, mais est-ce vraiment un mal ? Espérons plutôt qu'il va relancer la mode des bons films !
 
Ecrit par Roxanne De Bormelia, le Lundi 22 Octobre 2007, 15:03 dans la rubrique "Radio-CD".


Commentaires :

  Zakath-Nath
Zakath-Nath
25-10-07
à 17:47

J'ai vraiment passé un bom moment avec ce film. Puis pour une fois, je n'avais pas lu le livre à l'avance, donc pas de comparaisons à faire et de passages particuliers à attendre, de temps en temps ça fait du bien de juste se laisser porter.

Bon, j'ai peut-être eu un moment d'inattention, mais la raison pour laquelle la sorcière transforme Tristant en souris m'échappe un peu. juste une pirouette scénariqtique pour expliquer les pouvoirs de la fleur et que Claire Danes lui déclare sa flamme, ou il y a une autre raison (genre une souris dans une roulotte, ça prend moins de place qu'un homme).