Le cycle Bormelien - Antonio Banderas, dieu de la danse

Antonio Banderas et la danse, à chaque fois un spectacle inoubliable. Rien que pour ça on pourrait lui pardonner d'avoir massacré Armand dans "Entretien avec un vampire".

Pour moi Antonio Banderas est le type même du grand brun ténébreux aux yeux noirs (tiens, ça me rappelle personne...), et quand ce genre d'homme sait danser, tout devient possible.

Bon, d'accord, cette vidéo est mauvaise, et à ce moment du "Masque de Zorro", Antonio fait plus petit minet aristocrate que grand brun ténébreux, mais tout de même... Et cette musique... Ah, qu'est-ce qu'on aimerait être à la place de Catherine Zeta-Jones à cet instant.

Pour moi cette scène est l'esprit même de la danse de couple, une sorte de flirt fougueux caché sous l'apparence plus ou moins bienséante d'une distraction innocente. Je ne veux pas dire là que je drague à chaque fois que je danse (et d'ailleurs je danse plutôt mal). Mais il se crée une sorte de lien indéfinissable, cela nous sort du temps qui passe, comme dans la scène de "Pride and Prejudice" version 2004, quand ils se retrouvent seuls, bien qu'entourés dans la salle de bal.

Mais il y a autant de manières de danser que de danseurs, et j'aime particulièrement la sienne. Petits extraits de danses...