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La Belle au bois dormant
Comme toute petite fille issue de la génération Walt Disney, j'ai non seulement lu les contes les plus divers, mais je les ai également vu (en version soft et édulcorée) en dessin animé. C'est peut-être de là que je tire une bonne partie de mon amour de la musique, du chant et de la danse, car à l'époque il n'y avait pas de Walt Disney sans chansons (mais je n'ai pas vu les derniers, fidèle aux anciens). Un de ceux que j'aimais le plus dans les chansons et dans l'histoire, tout en l'aimant le moins dans les graphismes (oui, oui, à sept ans on sait quand on n'aime pas les graphismes de quelque chose), était la Belle au bois Dormant. Conte de Perrault, revu par les frères Grimm puis par Walt Disney enfin, il est sorti en 1959 (c'est vieux, hein ? On ne dirait pas, mais les meilleurs Walt Disney sont les vieux). Synopsis (trouvé sur Wikipédia, parce que je n'avais pas l'energie d'en faire un moi-même) : Dans un lointain pays, vivent le Roi Stéphane et sa femme qui rêvent d'avoir un enfant. Un jour enfin, leur rêve se réalise, et il leur naît une fille qu'ils prénomment « Aurore ». Ils organisent alors une fête à laquelle sont conviés tous les habitants du royaume. Hubert, roi d'une contrée voisine, se joint à l'assistance, et leur présente son jeune fils Philippe. Soudain, apparaissent trois marraines-fées venues chacune offrir un don à la petite princesse : Flora, à la robe rouge, la dote d'une beauté incomparable. Pâquerette, à la robe verte, la dote d'une voix mélodieuse. Quand Pimprenelle, à la robe bleue, s'apprête à formuler son don, un grand souffle de vent se fait entendre. Un éclair zèbre le centre de la salle du trône, et Maléfique, la terrifiante fée du Mal, fait son apparition, vite rejoint par son fidèle corbeau, Diablo. Rancunière de ne pas avoir été invitée à la fête, elle se venge de cet affront en jetant un mauvais sort à la petite princesse : en grandissant, elle deviendra gracieuse et belle, et aura pour elle l'amour et la dévotion de chacun. Mais, avant le jour de ses 16 ans, elle se piquera le doigt au fuseau d'un rouet, et en mourra. On peut regretter certains détournements de l'histoire dans le style totalement rien à voir, où le fait qu'Aurore n'attende pas cent ans avant de se faire délivrer, ou une foule de petits détails que je n'énumérerai pas ici. Mais on reste dans un Disney, même si on est encore dans les débuts et que les histoires sont encore relativement cruelles (Walt Disney n'avait pas peur d'effrayer les enfants), même si elles se terminent bien. Il y a aussi quelques petits détails que je n'ai découvert que très récemment, notamment que le stylisme de la princesse Aurore s'inspire d'Audrey Hepburn et aussi que c'est un des personnages de Disney qui parle le moins (bon, elle se rattrape un peu en chantant), par contre on remarque facilement (si on connaît le ballet bien sûr), qu'une bonne partie de la musique est directement inspirée de Tchaïkovski. Quand aux graphismes qui m'ont si peu plus, c'est probablement parce qu'ils ne sont en général pas en lien direct avec les personnages et qu'ils sont assez peu réalistes, toutefois, certains plans me plaisaient déjà à l'époque, et c'est avec ravissement que j'ai découvert que ceux-ci étaient basés sur des enluminures. Bon, je vous laisse cet extrait que j'adore : J'en ai rêvé Ecrit par Roxanne De Bormelia, le Jeudi 14 Février 2008, 11:58 dans la rubrique "Radio-CD".
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